Extrait du spectacle Les temps qui courent, vingt ans de paroles tenues. Avril 2008 Nathalie Derome, Jean Derome et Frank Martel. info@desmotsdladynamite.com

Les Temps qui courent

2008

Dans ce spectacle, Nathalie Derome tisse un nouveau parcours parmi son répertoire des deux dernières décennies.

Ce spectacle rétrofestif offre une visite sensible et humoristique de l’évolution d’une femme née à travers trois révolutions. Nathalie Derome nous accueille sur son terrain de jeu intimiste empreint de poésie et d’urgence de dire, lequel est parsemé de chansons, d’anecdotes, de pensées du jour et de questions universelles.

Le tout est enveloppé des audaces musicales de Jean Derome au piano, au saxophone, à la flûte et aux petits objets; de Frank Martel au thérémine, à la machine à rythmes et au ukulélé; et de Martin Tétreault au tourne-disque altéré et aux «électros pas compliqués». Les quatre artistes, collaborateurs de longue date, forment un quatuor d’une complicité remarquable.

Conception, texte, chanson, voix : Nathalie Derome / Direction musicale, piano, saxophone, flûte basse, petits instruments : Jean Derome / Thérémine, ukulélé, machine à rythmes : Frank Martel / Tables-tournantes, instruments électroniques : Martin Tétreault / Conseillère artistique : Monique Gosselin / Conception de l’éclairage, régie : Louis-Pierre Trépanier / Son : Simon Bélanger / Conseillère costumes : Danielle Lecourtois

Le livre-disque Les temps qui courent, vingt ans de paroles tenues est publié aux Éditions Planète rebelle. Il est disponible en communiquant avec l’équipe de la compagnie au 514.528.7070 / info@desmotsdladynamite.com

Extrait de presse

« En plus de certains textes dits, clamés ou chuchotés, on y trouve de nombreuses chansons aux sons insolites, aux mélodies inattendues, qu’elle porte avec force et souffle, d’une voix profonde et juste qu’elle a beaucoup travaillée au fil des années. Ici aussi, des formules-chocs, une urgence de chaque instant, des paroles d’engagement et des airs nostalgiques qui nous font toucher un pan de culture québécoise trop méconnu. »

Raymond Bertin, Revue Jeu, numéro 131, 2009